La micro finance a bousculé des croyances profondes pour tenir une double promesse : développer le potentiel humain et lutter contre la pauvreté en offrant des prêts aux exclus du système bancaire. Des prêts plutôt que des dons. Des prêts à des taux accessibles plutôt que des prêts usuriers. Des prêts pour développer l’autonomie, selon la vision de Muhammad Yunus :
« Chaque personne a un immense potentiel. Il ou elle peut influencer la vie des autres à l’intérieur de communautés, de nations, dans ou au-delà du temps de sa propre vie ».
Voici notre article en page 10 dans la revue Passerelles.
Stéphanie Desfontaines et Luc Roullet